Le nouveau spectacle de Florence K, présenté pour la première fois à Montréal jeudi dernier, a su charmer le public du Théâtre Maisonneuve dès les premiers instants. Voilà qui promet pour la chanteuse qui s'apprête à entamer une tournée de spectacles à travers le Québec.

« Avant même qu'il lui arrive ce qui lui est arrivé, ça faisait longtemps que je voulais travailler avec Tony Conte et Akim était dans la même situation. J'ai toujours trouvé que c'est le genre de comédien qu'on n'a jamais vraiment utilisé pour son potentiel de jeu, mais plutôt pour son casting, alors qu'il possède réellement un talent d'acteur. Akim et moi avons élaboré le concept en fonction qu'on voulait travailler avec lui. S'il disait non, on changeait totalement le concept du clip. Chus ben fier de ce qu'on a fait avec toute l'équipe. »

— Philippe Brach

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L'Équipe Spectra et le producteur Didier Morissonneau sont heureux d'annoncer la venue au Québec du légendaire big band de swing The Tommy Dorsey Orchestra suite à leur victoire au prestigieux Battle of the Bands du Festival International de Jazz de Montréal l'été dernier.

Après nous avoir fait découvrir Le matin des raisons, premier extrait de son album La foire et l'ordre, Philippe Brach rapplique avec la pièce C'est tout oublié. Avec ce second titre, le Saguenéen d'origine, fidèle à lui-même, nous transporte au cœur d'une histoire d'amour distordue par les effluves d'alcool. Difficile de ne pas fredonner les paroles du refrain dans lequel Brach s'expose avec une audace et une sensibilité bien à lui.

Il faut savoir d'où on vient pour savoir où on va, disait le grand sage. Et pour savoir d'où on vient, il n'y aura pas cet automne plus bel outil que Légendes d'un peuple – Le Collectif, album retraçant la vie des francophones en Amérique (à paraître le 28 octobre).

Grâce à ce salutaire projet imaginé par Alexandre Belliard, quinze artistes élèvent un monument de refrains et de couplets à la mémoire d'un personnage phare de notre histoire (Louis Riel, Paul Chomedey de Maisonneuve, Émilie Fortin) ou rappellent à notre souvenir un événement marquant de notre destin collectif (la crise d'Octobre, les Patriotes).

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Ne me quitte pas : un hommage à Jacques Brel se dresse comme une occasion de réenchanter notre relation avec l'œuvre monumentale du plus grand des chanteurs belges. Marc Hervieux, Isabelle Boulay, Paul Piché, Diane Tell, Marie-Élaine Thibert, Luc De Larochellière, Pierre Flynn, Bruno Pelletier, Bïa, Catherine Major et Danielle Oddera se mesurent humblement sur cet album à onze des plus importants textes de la chanson d'expression francophone. 

Patrice Michaud présentait il y a un mois à peine Je cours après Marie, le 3e extrait de l'album Le feu de chaque jour. Cette chanson qui accroche l'oreille a rapidement trouvé sa place auprès du public québécois.

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Marie-Élaine Thibert sur Les remparts de Varsovie

L'œuvre monumentale de Jacques Brel irrigue depuis plus de soixante ans la chanson d'expression française de partout dans le monde. Chacun des artistes québécois réunis à l'occasion de Ne me quitte pas, un hommage à Brel, album à paraître sous étiquette Spectra Musique le 11 novembre, incarne à sa manière le fiévreux romantisme, l'intempérante révolte ou l'intraitable tendresse du maître.

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Trois albums, trois livres et de nombreuses tournées plus tard, c'est un Alexandre Belliard fort de ce réjouissant succès qui, avec le concours de Spectra Musique, renoue enfin avec son projet initial : dans Légendes d'un peuple — Le Collectif, une douzaine d'inspirants collègues revisitent les pièces des trois premiers tomes de la série. Par-delà les allégeances politiques et les parcours respectifs, ces artistes d'ici partagent un rapport intime avec cette langue française dont ils sont d'influents ambassadeurs.

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