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Philippe Brach / Portraits de famine : Un pari réussi!

C'est devant l'imposant gorgosaure et les quelques animaux empaillés du Musée Redpath de l'Université McGill, mercredi dernier, que Philippe Brach a lancé Portraits de famine, ce second album tant attendu. Faisant suite à La foire et l'ordre, paru il y a moins d'un an et demi, le nouvel effort de Brach se veut plus homogène avec 15 titres qui fleurent bon l'irrévérence, le déséquilibre et les tripes sur la table. Un pari réussi, ce Portraits de famine ? Après les critiques qui le qualifient de « grand album » (Émilie Perreault, Puisqu'il faut se lever), « d'une beauté incroyable » (Valérie Lachaîne, Bible urbaine), « magique au niveau des arrangements […] 9/10. Excellent. » (Claude Rajotte, Rajotte) avec « des textes qui égratignent, qui parlent, qui vont loin » (Isabelle Ménard, Gravel le matin), il n'est pas démesuré d'affirmer que oui, Brach a tapé dans le mille. On ne se peut maintenant plus de le voir sur scène avec un nouveau spectacle, car en à croire le jeune saguenéen « ce sera définitivement le spectacle le plus proche de l'album qu'on va faire. Y'aura beaucoup de gens sur la scène, un tas de surprises, des moments de malaise, des moments de magie, mais certainement des moments ». Voilà qui promet pour la rentrée montréalaise qui aura lieu le 19 novembre prochain au National.

« Est-ce l'extrapolation de la nature du gars par Louis-Jean qui me plaît tant ? Ces explosions, déploiements, cordes qui emportent ? Non, c'est le gars, les arrangements, tout. »

— Sylvain Cormier, Le Devoir

« Y'a quelque chose qui vaut le détour dans chacune des chansons. […] ça vaut vraiment l'écoute, c'est un grand album. »

— Émilie Perreault, Puisqu'il faut se lever (98,5 fm)

« Philippe Brach avance de plusieurs pas avec son deuxième album, réalisé par Louis-Jean Cormier. Son folk prend du galon, en plus de s'éclater dans plusieurs directions. »

— Émilie Côté, La Presse

« Des textes qui égratignent, qui parlent, qui vont loin […] qui sont très poétiques. Il a énormément de talent, une belle puissance vocale […] C'est un album qui surprend, empreint d'une belle folie, de beaucoup de liberté et de belles propositions. […] J'ai adoré ça, une belle découverte. »

— Isabelle Ménard, Gravel le matin (ICI Radio-Canada Première)

« Je vous rappelle toujours que les paroles des chansons, ça ne me dit pas grand-chose, mais y'a des exceptions et l'album de Philippe Brach c'est une grande exception. C'est vraiment magique au niveau des arrangements. […] 9/10. Excellent. »

Rajotte, Claude Rajotte

« […] l'artiste use des mots avec poésie et, malgré la violence de certains textes, le résultat est d'une beauté incroyable. »

— Valérie Lachaîne, Bible urbaine

« Brach a l'intensité des grands. Il sait surtout la partager, toutes tripes dehors. Mettre en scène ses carences, ses humeurs, ses spasmes et ses lubies. […] C'est doux, violent et impudique. Beau, dense et complexe. Conflictuel et bordélique. Comme la vie… »

— Yves Bergeras, Le Droit

 

« Comme c'est doux aux oreilles, l'authenticité ! »

— Nicolas Roy, Les Méconnus

« […] à l'image du talent du jeune homme, grand gagnant des Francouvertes 2014, qui se promène ici allègrement entre chanson folk, mélodies raffinées, quelques écarts grunge et arrangements luxuriants. Et ces textes savoureusement poétiques et pleins d'esprit. »

— Marc-André Mongrain, Sors-tu

« […] je suis complètement en amour avec son nouveau matériel […] le deuxième disque du Saguenéen joue en boucle chez moi depuis sa sortie. »

— Valérie Roberts, En vedette

« [Il y a] de multiples bijoux là-dessus […] probablement le disque de l'année pour la plupart des grands aventureux… »

— Alexandre Trudel, cime