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Artiste 1

Une supplémentaire pour Brach suite au succès de sa rentrée montréalaise

À l'occasion de sa rentrée montréalaise, Philippe Brach a encore une fois démontré sa folie, son imprévisibilité et son immense talent devant une foule survoltée. Accompagné de huit musiciens, le charismatique Saguenéen a conquis la foule du National qui s'est faite un plaisir de chanter avec lui du début à la fin. La critique et le public sont unanimes : Philippe Brach est une bête de scène. Comme tout le monde en redemande, une supplémentaire sera mise en vente dès aujourd'hui. Pour le bonheur de ses fans Montréalais il se produira le 5 mars 2016 au Théâtre Faimount.

Supplémentaire

5 mars 2016

Théâtre Fairmount

« Déstabilisant exprès, le Philippe. On ne sait jamais où il va nous entraîner : on sait seulement qu'on ne s'ennuiera pas. »

  Tout le spectacle est sur ce mode, jeu d'échelles et serpents : on escalade, on déboule, on s'éclate, on se rapproche. »

Sylvain Cormier, Le Devoir

« Combien d'artistes dans la mi-vingtaine sont capables de passer comme Philippe Brach du rock de Né pour être sauvage, (…) au délire de Dans ma tête ou à la colère et au sarcasme de Bonne journée puis, avec la même aisance, le même naturel, de nous faire nous pâmer devant la beauté troublante de Monsieur le psy (…) ? »

  Le plus beau dans tout ça, c'est que ce showman né, sacré révélation de l'année au récent gala de l'ADISQ, ne donnera probablement pas tout à fait le même spectacle la prochaine fois. »

Alain De Repentigny, La Presse

« Entrer dans la tête de Philippe Brach, c'est être prêt à s'embarquer dans tout un voyage. »

  Parlant sans filtre et installant une belle complicité avec le public, Philippe Brach démontre une impressionnante aisance sur scène. »

Raphaël Gendron-Martin, Journal de Montréal

« Il va s'en dire que ce conteur-né nous a fait vivre une soirée musicalement riche dans l'absurdité. »

  Quand est venu le temps de rentrer, la station Beaudry était bondée de cercles d'amis qui écoutaient du Brach sur leurs hauts-parleurs, comme quoi on aurait pu en prendre encore et encore. »

Carmen Rachiteanu, Sors-tu